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Saison 2002-2003

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Pour honorer son centenaire et soutenu par la mairie, le stade Pascal LAPORTE améliore ses structures. Depuis le mois de juillet, il est en travaux. Pour l’heure, c’est le terrain principal de rugby qui est en réfection et on espère qu'il sera prêt pour le début du championnat et part la suite viendra la construction d'une tribune de 1 500 places.

Le débriefing de la saison passée a permis de renouveler la confiance à TRILLE. "Je suis revanchard. J'ai le sentiment d'avoir fait une saison blanche que je n'ai jamais vraiment pu mener."

Le président PAUTRIC affiche ses ambitions avec son nouvel effectif. "On s'est battu pour restructurer le club financièrement, pour avoir des structures superbes, pour gérer avec sérieux et professionnalisme. Nous sommes sereins : en aucun cas un échec ne fera tout s'écrouler, mais on fera tout pour monter dès cette saison. En interne, il nous faut être optimiste et continuer à construire. Nous travaillons déjà pour repartir en 2003-2004."

Sur le plan des départs, on déplore les arrêts de LOTTE et GIRAUDEAU, le pilier all-black NANAI n'a pas été conservé. Le pilier ANIJOU part au soleil de Cannes et Rudy GONZALEZ quitte Nantes pour ses études.

"Nous avons fait de nombreuses économies et, grâce à un partenariat en progression, nous pouvons cette année étoffer notre effectif et nous renforcer" signale le président en présentant ses nouvelles recrues : Pierre Jacques BASTARD, pilier Bègles Bordeaux ; Gaël DAHÉRON, pilier, Challans ; Prince OLUA, pilier (Côte d’Ivoire) ; Sylvain TEXIER, talonneur (Nîmes) ; Zurab MOGELADZE, 2e ligne, (Géorgie) ; Alban RAMON, 1/2 mêlée, (Saint-Nazaire) ; Boris KVINIKHIDZE, 1/2 d’ouverture, (Lavaur), Pierre POMMEREUL, centre (Saint-Nazaire) ; Wilfried MYRTIL (Quimper).

Trille, seul entraîneur après la mise à l'écart d'Éric GLEYZE aura tout de même un adjoint à ses côtés. Il s'agit de l'ex-Nazairien Karl MISSE qui sera chargé de l'entraînement de la mêlée.

Par avoir débuté l'entraînement dès le 21 juillet, on a hâte de disputer les premiers matchs amicaux. Le 1er septembre, aux Sables d'Olonne, TRILLE procède à une large revue de son effectif pour cette première victoire 70 à 12.

En se déplaçant à Tours, le 8 septembre, on savait que le S.N.U.C. passerait un bon test face à cette équipe qui descend de Pro D2. Rapidement, on constate une différence de niveau entre les deux équipes et Tours, supérieur, remporte ce match 37 à 12.

C'est à Choleet que le S.N.U.C. termine sa préparation. Les Nantais prennent le match rapidement en leur faveur. Supérieurs dans le jeu et avec une meilleure préparation physique, ils remportent ce match 35 à 9.

Le 22 septembre, le championnat est lancé et on reçoit Ribérac sur la nouvelle belle pelouse de LAPORTE. De mémoire de supporteurs, on a vu un aussi bel écrin. On s’ennuya ferme dans ce match, si on excepte le tout début. On espérait mieux de cette ouverture à Nantes. Les locaux ont joué un ton au-dessous et leur nouveau buteur KVINIKHIDZE était dans un jour sans. Suite à l'expulsion de BRANESCU à la 45e, les Nantais, en infériorité numérique, campèrent dans le camp des promus. Mais maladroits et désordonnés, ils ne concrétisèrent pas et se contentent d'un match nul 8 à 8.

Le déplacement contre la rude équipe de Saint Junien, le 29 septembre, est redouté par TRILLE. Quelques titulaires vont manquer dans son équipe. Mais le match ne se déroule pas comme prévu. Bien qu'assez brève, c'est une vraie générale à l'ancienne qui venait de se dérouler sous les yeux de l'arbitre, lorsqu'il décida d'interrompre la rencontre alors que les locaux menaient 15 à 11 et qu'il restait 35 minutes à jouer. Il aurait aussi bien pu choisir de sortir ses cartons et de faire se poursuivre les débats. Le capitaine nantais, TESSIER, explique ce que lui a dit l'homme en noir : "Il m'a justifié ainsi l'arrêt du match : bagarre générale déclenchée par Saint-Junien, plusieurs belligérants sortent du terrain. J'ai compté : il reste 11 contre 11, donc moins de 12 joueurs, j'applique le règlement : arrêt du match". Le match va continuer en commission de discipline.

Il ne manque certainement pas grand-chose aux hommes du président PAUTRIC pour enfin vaincre le signe indien et empocher une première victoire dans ce championnat. En recevant le voisin Rennes, leader actuel, la victoire est impérative. C'est une bien belle rencontre de rugby que les deux équipes ont offerte aux nombreux spectateurs présents sous un soleil fort agréable. 16 à 13 pour les Nantais au final, un score serré à la vue de leur domination globale, mais qui reflète la différence de sérénité entre un S.N.U.C. qui doute et des Rennais très à l'aise dans leurs crampons. Trille se réjouissait "j'éprouve beaucoup de satisfaction après tant de frustration. Avec une bonne conquête en première mi-temps, nous avons dominé territorialement sans jamais convertir en points cette emprise."

Le 20 octobre, la réception de la lanterne rouge Vierzon est une aubaine pour retrouver de la confiance. Le S.N.U.C. continue à ramer mais, au moins, il n’a pas perdu contre Vierzon qui a démontré qu’elle valait un peu mieux. Les locaux paraissent jouer avec le frein à main depuis le début de saison et ont manqué de sérieux pendant une trop longue partie du match et, à la fin du temps réglementaire, ils n’étaient pas encore hors de portée de fusil de Vierzon. C’est dans les arrêts de jeu que le S.N.U.C. se rassura pleinement pour l'emporter 33 à 21.

En se rendant chez le nouveau leader Poitiers, le 27 octobre, nos Nantais ne sont guère en confiance. Ambitieux dans le jeu, les Poitevins ont pourtant souffert pour venir à bout d’une formation nantaise courageuse en défense, solide et bien organisée. Ils eurent la malchance de perdre leur maître à jouer KVINIKHIDZE à la demi-heure de jeu. Avec l'appui du vent, le S.N.U.C. avait d'ailleurs viré en tête aux citrons 9 à 6. La victoire logique du leader poitevin fut beaucoup moins large que pourrait le laisser penser le score final 22 à 9. Il fallut en fait attendre les cinq dernières minutes pour connaître le dénouement de cette partie indécise à défaut d'être enlevée.

Le 10 novembre, le Stade LAPORTE bouillonne pour le derby contre Saint Nazaire. TRILLE, dans l'avant match, annonce la couleur :"Nous sommes dans l'obligation de gagner. On est tenu par le résultat". La pluie et le temps très humide sur Nantes ne favorisaient pas un jeu virevoltant, que les deux équipes étaient pourtant enclines à développer. La première demi-heure allait même se résumer à un duel de buteurs. À la pause, tout restait possible. Hélas, la deuxième période allait être d’un tout autre niveau. La "boîte à gifles" entrait trop souvent en action et le jeu baissait d’un ton. Les visiteurs, moins disciplinés que son adversaire, sont souvent pénalisés. Le S.N.U.C. finissait par l'emporter 17 à 15 dans ce triste derby.

Cette victoire est de bon augure pour le déplacement à Niort, le 17 novembre. S.N.U.C. n'arrive pas à rentrer dans son match et le score à la pause lui est défavorable 13 à 3. La 2e mi-temps était du même acabit avec une défaillance des buteurs de chaque équipe. Finalement, Niort l'emporte au terme de la partie : 19 à 6.

Le 1er décembre, Angoulême, rétrogradé la saison passée, est en mauvaise posture au classement de la poule, arrive à NANTES pour glaner quelques points. Après la sévère défaite concédée à Niort, les SNUCistes ont su réagir de belle manière en s’imposant dans les grandes largeurs devant Angoulême. "Si tout n’a pas été parfait" dixit Trille, les Nantais ont tout de même su retrouver une partie de leur rugby. "Il est encore trop tôt pour savoir si on a retrouvé nos vertus". Seule la victoire est belle 34 à 8. Pour l'anecdote, l'arbitre avait oublié d'arrêter le match au temps réglementaire pour ajouter plus de 13 minutes supplémentaires.

Le S.N.U.C. (3e de la poule) se rend, le 8 décembre à Vannes (dernier de la poule). L’occasion pour les hommes de TRILLE de confirmer leur regain de forme après leur facile succès devant Angoulême. Cette un scénario à la Hitchcock à la Rabine, comme le reconnaissaient après la rencontre les rugbymen vannetais. Après avoir dominé copieusement la première période, et concrétisé cette domination grâce à la précision de leur buteur les locaux ont dû ensuite passer le bleu de chauffe pour résister aux assauts SNUCistes qui finissent par s'incliner 18 à 17.

Avant de clore l'année, il faut enregistrer un bon résultat contre Orléans. Jusque-là, le S.N.U.C. était apparu en demi-teinte dans ce championnat. Contre les Orléanais, il a réalisé un match beaucoup plus plein, du moins pendant environ une heure. En fin de partie, on vit davantage les visiteurs mais la défense des locaux tint bon. "C'est le match référence qu'on cherchait", n'hésitera pas à déclarer Trille sitôt la fin du match sifflé et gagné 33 à 19.

En ce début d'année, les intempéries ont contribué à l'annulation des matchs contre Saint Junien et la Roche sur Yon.

Le 19 janvier, le déplacement à Ribérac est redouté après plus d'un mois sans jouer. Une organisation sans faille, un collectif bien huilé, conjugué à un implacable réalisme ont valu à RibÉrac de s’offrir un bon ballon d’oxygène en remportant un succès probant face à une solide équipe nantaise comme ce dernier essai sur pénal touche qui crucifie une équipe nantaise très déçue du score : 27 à 15.

Le 26 janvier, le S.N.U.C. reçoit Saint-Junien, sept jours avant de s’y rendre. Paradoxe de ce rendez-vous, le match retour sera joué avant l’aller ! En plein doute, les SNUCistes n’ont pas le droit à l’erreur. Dans un match très ouvert, souvent haché par les coups de sifflet intempestifs de l'arbitre, les Nantais ont remporté la première manche 15 à 10. TRILLE analysait : "le plus important était de nous rassurer en prenant les trois points. Il va falloir poursuivre notre travail cette semaine pour aborder notre déplacement chez eux".

Le S.N.U.C. doit retourner à Saint Junien pour terminer le match du 29 septembre. La rencontre sera intégralement rejouée, mais la partie redémarrera sur le score lors de l’arrêt soit 15 à 11 en faveur de Saint-Junien. Mais pour les mêmes raisons les joueurs du Limousin débuteront la partie à 14 joueurs contre 15 pour les Nantais. Le voyage se fera sans TRILLE qui a été démis de ses fonctions et remplacé par Dominique MASMONT, entraîneur de l'équipe réserve.[1] Les locaux voulaient cette victoire et ils l'ont largement méritée en se montrant solidaire de bout en bout de ce match "sanction". Le nouvel entraîneur nantais constatait, après cette défaite 33 à 16 :"Aujourd’hui, il n’y a pas eu photo, mes joueurs ont été battus dans tous les secteurs du jeu".

La parole est aux joueurs et une victoire à Rennes, le 9 février, serait le meilleur résultat pour conforter le tandem MASMONT-MISSE. Les Nantais très entreprenants viraient à la pause avec un maigre avantage de 7 à 6. À 60e minute, le S.N.U.C. prenait la tête au score après l'essai d'OBLIGY et n'allait rien lâcher jusqu'à la fin de la rencontre pour une belle victoire 16 à 10."Nous avons retrouvé notre jeu et un groupe de combattants" notait MASMONT.

Le déplacement contre le dernier Vierzon doit conforter la victoire rennaise. Par naïveté et manque de puissance et aussi par manque de maturité, les locaux subissent la loi nantaise. Malgré les intentions louables de leur adversaire, le S.N.U.C. domina son adversaire dès le début du match. En inscrivant 4 essais, ils ramènent une belle victoire 29 à 14.

La bonne dynamique va-t-elle continuer à la Roche sur Yon, pour ce derby très attendu en terre vendéenne, le 23 février. Les Yonnais avaient bien préparé leur match et MASMONT résumait objectivement cette défaite 22 à 9. "Durant les temps forts qui ont été les nôtres, nous n’avons pas su concrétiser, contrairement à ce qu’est parvenue à faire La Roche. D’autre part, nous avons fait trop de fautes encore à des instants importants du match. Ce sont des fautes défensives au niveau du soutien. On a tendance aussi à plonger encore, en ne restant pas sur nos appuis, à faire écran sur le porteur du ballon. On connaît nos défauts et on s’efforce de les gommer. Il nous faut travailler encore pour les effacer".

Le 2 mars, Poitiers arrive à NANTES, en leader et veut prendre les trois points de la victoire. Au terme d'un match plaisant, le S.N.U.C. s'est incliné face à une équipe qui a prouvé qu'elle ne galvaudait pas sa première place. Le Stade Nantais doit encore mesurer le travail à accomplir pour être au top niveau. "Le résultat est logique, confesse Francis Pautric, le président nantais. On a subi le jeu pendant 80 minutes. Du coup, nous concédons notre première défaite à domicile depuis 3 ans" 24 à 18.

Le derby contre Saint Nazaire, le 9 mars, a rempli les travées du stade du Plessis de plus de 3 000 aficionados de la balle ovale. Il ne faut jamais, en règle générale, attendre de miracles au niveau des intentions de jeu dans un derby. Les "rouges et noirs" n’ont pas su pénétrer la défense ligérienne imperméable et inquiéter les Nantais. Mené, 6 à 3 à la pause, le S.N.U.C. a prouvé que les recettes les plus simples sont toujours les plus efficaces. Revenant rapidement dans le match par un essai transformé à la 41e, les Nantais ne lâchaient rien et conduisaient le jeu à leur guise devant des Nazairiens très maladroits pour l'emporter 13 à 9. MASMONT exultait : "Nous avions peut-être 1 000 raisons de perdre et une de gagner. Nous avons choisi la bonne".

Niort, que l'on reçoit le 16 mars, veut rester accroché à sa 3e place et faire un bon résultat à LAPORTE. Les visiteurs ont justifié leur classement en passant trente-six points à des Nantais qui, après avoir pratiquement fait jeu égal avant la pause, ont fini par céder, concédant trois essais en un peu plus de vingt-cinq minutes. "On n'a tenu qu'une mi-temps, regrettait MASMONT. En plus d'être battus dans tous les compartiments du jeu, nous avons manqué de rigueur et de discipline."

Sans pause depuis le 19 janvier, l'équipe semble fatiguer et les "valides" suivent un programme d'entraînement moins poussé que d'habitude. Le bon résultat à Angoulême, dernier de la poule, donne raison aux coachs. La tonicité et la vélocité sont côté nantais. Tranchante et opportuniste, l'attaque du S.N.U.C. ne marque pas moins de 5 essais pour ramener une victoire 33 à 6, condamnant Angoulême à le 3e division.

Dans le derby tant attendu, les Nantais ont tremblé jusqu’au coup de sifflet final devant des Vannetais entreprenants qui ont eu le mérite de ne jamais baisser les bras. MASMONT résumait la victoire 21 à 19. "Comme dans tous les derbies, les rencontres sont difficiles à aborder. Le principal était de prendre les trois points et d’assurer du même coup notre qualification pour les play-off. Le rugby n’est pas une science exacte ! Nous avons effectué une bonne première mi-temps avec de nombreux temps forts sans pouvoir scorer. Ensuite nous avons fait trop de fautes par indiscipline ce qui a remis Vannes dans la partie. Il faut saluer le travail de notre défense qui est restée intraitable. Maintenant nous allons aller à Orléans en outsider pour y faire un coup".

Le déplacement à Orléans, le 13 avril, laisse peu de place à une victoire. Les locaux ont dominé la rencontre de la tête et des épaules. Conquérants devant, variant les combinaisons derrière, ils ont été dominateurs dans tous les compartiments du jeu. Dans un match à sens unique, ils marquent 6 essais pour gagner 45 à 10. "Une défaite parfaitement logique. Pour gagner, il faut avoir de l’envie. Nous n’en avions pas. Nous étions venus ici sans pression". Concédait MASMONT.

Le derby contre la Roche sur Yon, le 20 avril, va engendrer sans doute plus de motivation. "La suprématie régionale est en jeu, prévient le capitaine OBLIGY. On souhaite aussi faire plaisir à notre public qui devrait assister à un match dur, âpre." Au contraire, on a eu droit à un festival de coups défendus et d’expulsions. Le mot de la fin est néanmoins revenu aux Nantais, vainqueurs du derby 26-19.

Les SNUCistes débutent la partie la plus dure de la saison en 32e au Mans contre Gennevilliers. L’effectif est pratiquement au complet et l’on ressent lors des entraînements une grosse volonté de bien faire. Comme souvent, l'enjeu a tué le jeu. On assista, pendant le temps réglementaire, à un festival de pénalité, le plus souvent pour des positions de hors-jeu. La fin du match fut plus âpre mais les Nantais, vaillants en diable, s'accrochaient à cette belle qualification 17 à 12.

Le 18 mai, à La Roche-sur-Yon, Le S.N.U.C. rencontre le Stade Poitevin, en 16e, pour la 3e fois de la saison. Malgré la pluie fine et insidieuse qui les accompagna tout au long de la rencontre, Poitevins et Nantais s'évertuèrent à pratiquer un rugby de qualité, exempt de mauvais gestes. Les Nantais, confondant souvent vitesse et précipitation, émoussés par leurs efforts, allaient finalement céder face à la fraîcheur viennoise 20 à 14. MASMONT de conclure : "On ne peut rien reprocher aux joueurs qui ont fait preuve de vaillance et de beaucoup de volonté. Le problème, c'est que l'on ne parvient pas à marquer dans nos temps forts."

     
   
 

 

 

 

 

   

 

   

[1] Les joueurs n'adhéraient plus à son discours et souhaitaient un changement

   

 
     
     
           
 
 
 

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